Le directeur de la compétition de Pirelli indiquait après les essais de Jerez qu’il n’envisageait pas de course à quatre arrêts mais plutôt à deux, voire trois. Alonso n’est pas convaincu : par ce qu’il a vu à Valence ou à Jerez, des Grands Prix très longs pourraient voir des courses à quatre arrêts.
"Les pneus ne durent pas aussi longtemps que les Bridgestone de l’année dernière. Après 15 ou 20 tours ils sont morts," confirme Alonso à EFE. "Je pense que cela va changer la façon dont les courses vont se dérouler cette année. Il y aura différentes stratégies et plus d’arrêts au stand. J’espère que ce sera bon pour le spectacle parce que pour les pilotes et les équipes ce sera un peu plus stressant."
Selon la tenue des pneus, dans l’état actuel des gommes fournies par Pirelli, Fernando Alonso voit bien des courses à quatre arrêts en Hongrie ou à Singapour.