Après les insultes dont Fernando Alonso avait été victime de la part d’une journaliste de la Sky en Italie, le pilote McLaren a refusé de répondre aux questions de la chaîne en Chine. En réaction, ladite journaliste aurait été mise à pied.
« Je ne me sens pas attaqué par quiconque, insiste néanmoins Alonso à Bahreïn, elle s’est excusée et la vie continue. Ce n’est rien de bien méchant. »
Mais une critique se doit d’être lancée dans le « respect, » selon l’Espagnol, « particulièrement quand ça touche à des choses comme des accidents où votre famille est impliquée et que c’est une période difficile pour tout le monde. Je pense que ces choses ne devraient pas être abordées. »
Mais à part ça, Alonso dit n’avoir aucun problème avec la critique, et même que « nous devrions être critiqués sur le très faible niveau que nous affichons en ce moment avec McLaren. Quand nous gagnerons, peut-être ne serons-nous alors plus critiqués. »
L’Espagnol ajoute qu’il garde nombre de fans italiens, en dépit de leur passion pour Ferrari et de sa séparation avec la Scuderia, qui ne s’est pas faite sans amertume.
« Les gens seraient surpris du soutien que j’ai en provenance d’Italie. Il y a quelques crises par-ci par-là, mais j’en reçois beaucoup d’affection, et je ressens la même chose pour ce pays. »
Et concernant la course de Bahreïn qui approche, Alonso affiche sa confiance pour la suite.
« C’est une des dernières courses où nous rendrons un tour aux hommes de tête. »