Après son expérience aux 500 Miles d’Indianapolis en mai dernier, Fernando Alonso est de retour aux États-Unis, mais cette fois-ci, c’est avec McLaren et en Formule 1. Le pilote espagnol aborde le Grand Prix d’Austin avec une nouvelle approche, désormais qu’il connaît la culture du sport auto aux Amériques d’un peu plus près.
« C’est une culture différente, une manière différente de comprendre le sport auto ou le sport en général – c’est beaucoup plus ouvert, beaucoup plus chaleureux pour nous tous ».
« On avait le sentiment que le sport transcendait les nationalités. Nous étions tous des héros pour les gens dans les tribunes. Ils nous supportent tous de la même manière et ils ont vraiment profité de la course, donc c’est une bonne leçon d’apprise pour nous. »
Fernando Alonso avait couru avec l’équipe Andretti aux 500 Miles d’Indianapolis et le propriétaire de l’écurie, l’ancien champion de F1 Mario Andretti, se rappelle toujours avec bonheur de la pige de l’Espagnol.
« J’ai clairement vu qu’il commençait à apprécier les démonstrations de soutien des fans. Ils ont montré qu’ils appréciaient son effort, ils en ont vu la valeur. A Montréal, au Grand Prix du Canada, il est allé vers les fans avec son casque sur la tête… et c’est tout, ça suffisait. C’est ce qui fait vivre le sport, c’est ce qu’aiment les fans. »
« Donc il a amené quelque chose aux 500 Miles d’Indianapolis, quelque chose qui avait une grande valeur. Il a été reçu à bras ouverts par tout le monde. C’était une bonne chose pour le sport, pour l’IndyCar et pour la F1, honnêtement. »
La porte serait-elle ouverte pour une nouvelle expérience de l’Espagnol cette année ?