Renault travaille dur depuis le Grand Prix d’Italie pour tenter de découvrir ce qui s’est produit sur les alternateurs de Vettel et d’Ambrosio, une réminiscence des problèmes qui étaient déjà survenus à Valence sur cette pièce.
Rob White, responsable moteur, donne une piste : la surchauffe à bas régimes. Après Valence les alternateurs ont vu leur capacité augmenter mais le problème ne semble pas résolu quand leurs F1 rencontrent des virages lents, ce qui était le cas à Monza, comme à Valence.
"Notre enquête après Valence montrait des problèmes potentiels de surchauffe à bas régimes. Nous avons alors développé une révision de l’alternateur qui a été testé par Red Bull et Lotus à Spa, sans problème. Il développe 30% d’énergie en plus pour corriger les problèmes à bas régimes," explique White.
Cependant le problème ne semble pas encore résolu. A Monza, "à chaque fois, il s’agissait d’alternateurs complètement neufs. Après les incidents en libres 3 (Vettel) et en qualification (d’Ambrosio), nous avons changé ces pièces. La casse en course pour Vettel est donc encore plus précoce. D’autres parties ont fait bien plus de kilomètres. Cette situation n’est donc pas acceptable, nous devons la résoudre pour Singapour."