La lutte pour le titre entre Sebastian Vettel et Lewis Hamilton peut laisser penser que tous les coups sont permis. Toutefois, un certain fair-play semble être de mise, alors que le Britannique pourrait ceindre sa 5e couronne ce dimanche à Austin.
Hamilton a défendu son rival, trouvant les allégations (erreurs trop nombreuses) faites à l’encontre du pilote Ferrari très (trop ?) dures. Un comportement de la part de Lewis qui ne surprend nullement Maurizio Arivabene, le patron de Ferrari
"Je crois que Lewis et Sebastian ont commencé en F1 ensemble en 2007, ce sont des pilotes professionnels et des collègues. Je ne veux pas entrer dans cette discussion entre ces deux pilotes. Il est normal en étant un professionnel de la Formule 1 de se soutenir l’un l’autre, malgré ce qu’il se passe sur la piste. Une fois le casque sur la tête, ils se battent comme des beaux diables et en dehors de la piste, ce sont des collègues et ils se soutiennent l’un l’autre. Pour moi c’est normal," confie l’Italien à ce sujet.
Le directeur de Ferrari tient aussi à rappeler la solidarité qui règne au sein de son écurie. Pas de crise à l’horizon comme certains le clament.
"Ceci étant dit, vous avez mentionné le sujet des critiques. Il est certain que les critiques envers Sebastian ne viennent pas de l’équipe, parce que je l’ai dit et redit, nous gagnons et nous perdons ensemble. Ce n’est pas nouveau, mais je voudrais réitérer le fait que nous gagnons et que nous perdons ensemble, un point c’est tout."