Le manufacturier italien Pirelli est critiqué pour la qualité de ses pneus, mais il ne peut pas les modifier sans l’unanimité des équipes et bien sûr, en F1, c’est souvent mission impossible.
Cette situation est-elle acceptable ? “Non," affirme l’ex-pilote de F1 Gerhard Berger. “Je vais me répéter, mais je ne pense pas que les équipes dépensent des millions d’euros en soufflerie, en tests et dans le développement de leurs moteurs et que finalement ce soit le fournisseur de pneus qui décident des résultats.”
“Ce n’est pas correct. Je suis favorable à de vraies compétitions et au fait que les meilleurs doivent se retrouver à l’avant. C’est le sport qui doit être au centre des préoccupations et non les pneus,” ajoute l’Autrichien.