Jules Bianchi n’a pas eu beaucoup de temps au volant de sa nouvelle Marussia MR03 mais suffisamment en tout cas pour se rendre compte que le pilotage des nouvelles F1 était bien moins facile que celles des années précédentes.
"Ce n’était pas facile en piste, c’est certain mais nous sommes là pour ça, non ? Nous sommes ici pour relever le défi et nous voulons être le plus rapide possible avec le matériel qu’on nous donne. Ca glisse bien plus que les F1 de 2013 mais c’est la même chose pour tout le monde," note le Français.
La gestion de l’énergie sera la grosse différence en course. "La batterie et l’essence à disposition sont les deux différences principales. L’an passé vous n’économisiez pas l’essence alors que cette année c’est justement une grosse partie du défi. Il faudra bien s’y préparer pour la première course."
Bianchi est heureux de se retrouver propulsé par un moteur Ferrari. "Nous savons que le V6 Ferrari se comportait bien, c’est une chose positive pour nous. Ils ont fait du très bon boulot avec le moteur. Les sensations sont encore étranges mais nous nous y ferons avec un ou deux jours d’essais en plus."
"Nous ne savons pas encore où nous en sommes au global mais c’est un bon départ pour notre saison," conclut-il.