Kimi Raikkonen ne semble plus avoir beaucoup de choix réalistes pour continuer en F1 au top, après l’échec des négociations avec Red Bull. Le premier choix est évidemment de poursuivre chez Lotus et le deuxième, s’il existe vraiment, serait de rejoindre Alonso chez Ferrari, à la place de Massa.
Cette option Ferrari est peut-être virtuelle, pour aider Steve Robertson, le manager du Finlandais, à faire monter les enchères. Mais quoi qu’il arrive, Lotus n’est pas prête à casser sa tirelire pour garder Raikkonen. Le team d’Eric Boullier est loin d’avoir les finances des top teams tels que Red Bull, McLaren, Ferrari et Mercedes.
"Nous n’avons pas fini notre histoire avec Kimi, nous voulons la continuer. Kimi est quelqu’un de bien pour l’équipe. C’est évidemment un très bon pilote et tout le monde le sait. Il nous aide aussi à progresser pour atteindre de bonnes places. Il s’intègre naturellement à nous et l’équipe s’intègre naturellement à lui," commence par expliquer Eric Boullier, à Autosport.
"Je veux donc le garder mais, pour être honnête, je veux le garder dans les bonnes conditions. Si nous ne pouvons pas nous le payer à cause de notre budget alors je ne veux pas l’avoir avec nous parce que ce serait un boulet à traîner et nous ne pourrions rien construire avec ça. Mais si nous pouvons l’avoir, alors nous aimerions le garder."
En attendant la finalisation de l’accord Lotus - Infinity Racing (qui doit injecter de l’argent frais en rachetant 35% des parts), voilà Steve Robertson et son pilote prévenus...