Flavio Briatore a tenu à prévenir ses compatriotes italiens, les promoteurs du Grand Prix d’Italie : il ne faut pas jouer trop longtemps un jeu trop dur avec Bernie Ecclestone, aussi historique que soit la course de Monza.
Alors que les négociations financières trainent en longueur, le président de la région de Lombardie, Roberto Maroni, a affirmé haut et fort qu’il "ne peut y avoir de Formule 1 sans Monza."
Briatore répond que "Maroni a raison. Le Grand Prix restera à Monza tant que l’ACI paiera le prix demandé par Ecclestone. Il reste encore une différence importante entre ce que propose Monza et ce que veut Ecclestone."
"Bernie n’est pas intéressé par qui le paie mais par ce qui est payé."
Briatore est aussi d’accord avec Ecclestone sur le fait qu’il ne souhaite pas rendre visite à Michael Schumacher en Suisse, tant que les nouvelles ne seront pas bien meilleures.
"Je veux continuer à me souvenir de lui comme il était avant son accident. Ce serait trop douloureux de le voir dans l’état dans lequel il est aujourd’hui. Cela ne l’aidera pas d’aller le voir alors je préfère garder les images que j’ai dans ma mémoire."