Chase Carey, le nouveau président de la Formule 1, était présent à Singapour pour son premier Grand Prix en tant que représentant de Liberty Media, le groupe qui détient maintenant le sport.
Il a déjà commencé à prendre ses distances concernant le mode de management de Bernie Ecclestone.
"Vous ne pouvez pas faire en sorte de rendre tout le monde heureux tout le temps mais il faut prendre le temps de savoir ce que tout le monde veut et trouver un chemin commun," déclare l’Américain.
"C’est certain que ce n’est pas une tâche à effectuer avec un comité, trop bureaucratique, mais il ne peut pas non plus y avoir une dictature... même si en Formule 1 ils s’y sont probablement habitués."
"Ce sport a besoin d’un leadership, un leadership qui a une vision pour l’avenir et des objectifs précis et justes à atteindre."
Ecclestone doit normalement collaborer au moins 3 années avec Liberty Media mais il a fait savoir à Singapour que, si les choses tournent mal entre lui et Liberty Media, "rien ne me force à rester. Je n’ai pas de souci d’argent. Je n’ai aucune obligation."