Liberty Media souhaite faire croitre la Formule 1 sur son pays d’origine, les Etats-Unis.
Pour l’instant le sport n’a jamais réussi à y obtenir la popularité nécessaire alors qu’il s’agit pourtant de la principale puissance économique mondiale.
Chase Carey, le patron de la F1, a souvent reconnu qu’une 2e course était nécessaire mais il n’y aura pas de précipitation.
"Il nous faut un plan à 5 ans pour conquérir ce marché," explique l’Américain.
"Je ne veux pas critiquer Bernie Ecclestone, parce qu’il a fait beaucoup de bonnes choses très bien. Mais il se concentrait parfois un peu trop sur des accords pour le court terme. Si on veut réussir à aller à New York, il nous faudra du temps et un bon planning."
"Avant, la Formule 1 fonctionnait comme ça : signer un contrat avec un promoteur et ensuite, le laisser se débrouiller. Ce n’est plus possible."
"Il faut réussir à capter les gens et leur imaginaire. Vous ne faites pas çà avec Phoenix, mais à New York ou Miami."
"Nous en voyons déjà les premiers signes, grâce à notre présence accrue sur les réseaux sociaux : il y a de plus en plus d’Américains qui parlent de F1. Il y a là-bas une plus grande base de fans que nous le pensions."