Deux semaines après un circuit rapide et quatre semaines après un circuit urbain, les pilotes se rendent sur le circuit de Bakou, qui est le circuit urbain le plus rapide de l’histoire de la Formule 1.
Toutefois, pas question de le comparer avec les deux précédentes épreuves pour le pilote espagnol de l’équipe Toro Rosso.
"On ne peut pas comparer le tracé de Bakou à celui de Monaco, même si c’est un circuit urbain" explique Carlos Sainz.
"Il n’est pas mieux ou pire, il est juste très différent. C’est un circuit difficile, pas forcément plus dur que Monaco mais il en est proche et chaque erreur peut être catastrophique, ce qui oblige à rester concentré tout le temps".
"Je m’y suis amusé l’an dernier, c’était une course spéciale. C’est dommage d’avoir abandonné car j’adorais y rouler. Je me rappelle de très belles batailles avec les McLaren et les Red Bull et ce n’était pas de tout repos".
Le circuit de Bakou est déjà célèbre pour son environnement atypique, que ce soit sur les grandes avenues de la capitale de l’Azerbaïdjan ou au contraire, dans la partie sinueuse qui monte au château.
"On n’a pas le temps de profiter de la vue à 300 km/h mais l’une des choses que je préfère à Bakou, c’est son château médiéval qui est l’une des parties du panorama quand on y court, et certaines photos de cette course sont uniques !"