Chargement ...

Chilton revient sur son accrochage de Monaco

Raikkonen ne l’avait pas vu...

Chargement ...

Jules Bianchi a marqué deux points pour l’équipe Marussia la semaine passée à Monaco, mais son équipier Max Chilton aurait pu lui aussi signer un très bon résultat, s’il n’y avait pas eu une incompréhension avec Kimi Raikkonen.

“Lorsque nous passons la ligne d’arrivée deux fois, Charlie (Whiting, le directeur de course) nous fait habituellement savoir que les voitures à plus d’un tour peuvent dépasser les voitures qui sont devant. Lorsque je suis arrivé dans le premier virage, j’ai demandé à mon ingénieur quand nous allons pouvoir dépasser et lorsque je suis arrivé au Casino, il m’a donné son feu vert,” raconte Max Chilton.

“J’étais derrière Raikkonen, à droite de la piste en approchant de Mirabeau. Il était à gauche et je n’ai fait aucun mouvement brusque. Je lui ai seulement montré le museau de ma voiture. Selon moi, il a pris le virage en retard, ce qui m’a fait pensé qu’il m’avait vu et qu’il allait me laisser passer,” poursuit le pilote britannique.

Les commissaires sportifs ont estimé que c’était un incident de course et qu’il n’y avait pas lieu de sévir.

“Si c’était à refaire, je referais la même chose. J’étais persuadé que Raikkonen m’avait ouvert la porte, mais en vérité, il ne m’avait pas vu. C’était frustrant. Je n’ai jamais fait partie d’une équipe de pointe et je ne sais pas si leurs pilotes reçoivent un message, mais si j’avais reçu un tel message, j’aurais regardé dans mon rétroviseur avant de tourner. C’est vraiment dommage, car je faisais une belle course et je pense que j’aurais pu terminer dans le top 10,” ajoute Max Chilton.

Chargement ...

«Perez aimerait devenir un habitué des podiums

Red Bull restera avec Renault en 2015»

Info Formule 1


>Les pilotes favorablement impressionnés par Rui Marques, le nouveau directeur de course

>Officiel : Colapinto est autorisé à disputer la course à Las Vegas

>Brown : McLaren F1 ne considère pas le titre constructeurs comme acquis

>Comment Komatsu a dû lutter contre un état d’esprit ’anti-évolutions’ chez Haas F1

>Wolff : L’Allemagne souffre encore de la gueule de bois des années Schumacher

+ d'infos Formule 1