La FIA ne changera pas de méthode pour contrôler le flux d’essence maximum utilisé par les moteurs en Malaisie, malgré la controverse née à l’issue de la cours de Melbourne en ce qui concerne Red Bull et les différents problèmes également rencontrés par les autres équipes, qui avaient elles choisi d’ajuster leur flux aux données de la FIA.
"Nous n’allons pas changer nos méthodes de mesure et de contrôle dans ce domaine. Il n’y a aucune raison de le faire," confirme le directeur de course de la FIA, Charlie Whiting.
"Nous avons confiance dans la fiabilité des mesures de notre débitmètre. Ce sera toujours corrélé avec les données que nous avons de la part des injecteurs en cas de grande divergence. Mais d’après ce que nous avons vu, ce ne sera pas le cas," ajoute-t-il.
La FIA a toutefois changé la fréquence de contrôle du flux en passant le capteur à ultrasons de 10 Hertz à 5 Hertz, ce qui devrait lisser un peu les éventuels pics, qui peuvent provoquer de fausses alertes.