Alors que les déclarations de la Commission Européenne laissaient penser hier que la Formule 1 ne subirait pas de poursuite après la vente ayant notamment rapporté 80 millions de dollars à la FIA, il se dit qu’une enquête pourrait quand même être lancée et que la réponse de la Commission stipulant qu’aucune action ne serait intentée ne pourrait en fait valider que la vente, et pas la répartition des gains.
« La réponse de la commissaire concerne l’approbation de la vente elle-même et non l’intention qu’a la Commission d’enquêter sur les pratiques anticoncurrentielles liées à cette vente » explique le journaliste financier Christian Sylt.
Bien que la vente n’ait pas atteint les paliers poussant la Commission à enquêter sur la transaction, les commissions nationales ont été saisies dans plusieurs pays et la commissaire européenne, Margrethe Vestager, a confirmé qu’elle étudierait de plus près le système d’imposition de la Formule 1.
Affaire à suivre, donc…