Chargement ...

Dennis ne s’inquiète pas pour l’avenir de Kevin Magnussen

Le Danois a impressionné

Chargement ...

Kevin Magnussen a tant impressionné McLaren lors de sa première course en Australie que le grand patron, Ron Dennis, avait déclaré être convaincu que son pilote avait l’étoffe pour devenir champion du monde. La question qui est maintenant posée au Britannique c’est de savoir s’il en a la capacité dès sa première année en F1.

"Kevin réunit toutes les qualités qu’il faut chez un pilote pour gagner le titre mais il doit aussi disposer d’une voiture compétitive pour y arriver. Ne nous emballons pas après la première course, nous ferons un point après les 4 premières courses hors d’Europe sur notre situation par rapport à nos rivaux," déclare Ron Dennis.

"En ce qui concerne Kevin, je n’ai pas la moindre inquiétude. Il a la bonne attitude, il est concentré et impliqué et fera les sacrifices nécessaires. Avec Jenson, il dispose d’un mentor exceptionnel, ils s’entendent bien. Kevin saura lui rendre la vie dure."

En l’espace d’une course, la décision de remplacer Sergio Perez par Magnussen a été justifiée selon Dennis.

"Il n’aurait pas pu faire mieux. Il n’a pas fait une erreur, il a suivi les consignes de l’équipe. Je n’ai rien d’autre à dire sur lui, je ne peux que le féliciter. Finir sur le podium de son premier GP, maitriser des qualifications très délicates, comment demander mieux ? Il a justifié sa sélection. J’en suis ravi d’autant que je suis intervenu pour le titulariser. Je suis peu intervenu l’an passé mais pour cela je l’ai fait."

Chargement ...

«Ferrari : Maintenir la fiabilité, progresser en efficacité

Sergio Perez espère être plus chanceux ce week-end»

Info Formule 1


>McLaren F1 a atteint ’un niveau élevé’ en 2024 malgré les opportunités manquées

>Lawson n’avait parfois ’pas confiance’ en Red Bull pour son avenir

>Horner a désigné les deux succès de Ricciardo qui l’ont marqué

>Colapinto : Les Sud-américains ont plus de chance maintenant d’atteindre la F1

>Mercedes F1 expose sa W12 à l’usine, la monoplace ’de la joie et de la douleur’

+ d'infos Formule 1