Avant le Grand Prix d’Inde, Stefano Domenicali avait admis qu’il avait dû, avec le président Luca di Montezemolo, calmer Fernando Alonso, un peu trop critique envers Ferrari face aux journalistes. Des limites avaient été franchies selon lui.
Lors du dernier week-end, Alonso est encore apparu très renfermé et était même très nerveux face à son équipe lors des qualifications. Est-ce que tout va bien avec l’Espagnol ?
"Pourquoi continuez-vous à me poser cette question ?" répond Domenicali aux journlistes. "Je ne sais pas si vous faites la chasses aux sorcières ou autre chose mais il est temps d’arrêter de dire que ça se passe mal avec Fernando."
"Personnellement je ne l’ai pas constaté. C’est mon point de vue et je suis certain que c’est le même pour Fernando," ajoute-t-il.
"Il n’y a aucun changement dans notre motivation à faire en sorte que nous gagnons ensemble. C’est notre objectif commun, sans aucun doute."