Bernie Ecclestone avoue ne pas comprendre les controverses qui secouent actuellement l’organisation du Grand Prix d’Italie à Monza. Enrico Ferrari, le directeur historique du circuit, en a fait les frais récemment et a été remplacé par Fabrizio Turci.
"Je ne comprends pas vraiment ce qui se passe là-bas," déclare Ecclestone, qui salue lui la gestion décriée de M. Ferrari. "Grâce à lui Monza a un contrat financier favorable par rapport aux autres courses en Europe. Sur le continent, il n’y a aucune course moins chère que le Grand Prix d’Italie."
"Enrico était dur en affaires mais compétent, direct et surtout clean," ajoute-t-il.
Concernant son successeur, "je ne le connais pas et je ne l’envie pas. Sans M. Ferrari ce sera plus compliqué, Enrico était vraiment un homme clé."
L’Automobile Club d’Italie a lancé plusieurs enquêtes sur la gestion du circuit ces derniers mois. Un rapport est attendu dans le courant de l’année.