Bernie Ecclestone a avoué ce week-end au Financial Times qu’il ne comptait pas introduire la Formule 1 en bourse avec son partenaire, CVC Capital Partners, qui détient pourtant la majorité de la Formule 1.
Il y a quelques années, Ecclestone pensait qu’une "cotation en bourse est certainement la meilleure voie à suivre pour la Formule 1." Depuis il a changé d’avis : "je n’ai aucune envie de me retrouver dans des assemblées d’actionnaires. De mon vivant, la F1 ne sera pas en bourse."
Ecclestone détient encore personnellement 5,3% des parts commerciales de la F1, dont il pense que la valeur se situe aujourd’hui entre 6 et 7 milliards de dollars si elle devait entrer en bourse.
Et alors qu’il vient de fêter ses 80 ans et que sa succession semble intéresser de plus en plus, le journal lui a posé la question de savoir s’il avait un plan. "Il n’y a pas de vérité dans les rumeurs qui voient Flavio Briatore comme un candidat à mon poste. Quelqu’un émergera quand je ne serai plus là. Il y a deux ou trois personnes possibles mais je pense de toute façon que la Formule 1 ne sera plus gérée comme je le fais."