Bernie Ecclestone a affirmé à Spa-Francorchamps que l’avenir des Grands Prix d’Italie et d’Allemagne n’étaient pas encore assurés.
Malgré de bons échos en provenance de Monza ce mois-ci, qui suggèreraient la signature d’un accord lors du Grand Prix en septembre, le grand argentier de la F1 remet la pression en avouant avoir des doutes sur l’arrivée de l’argent promis.
"Je ne sais pas où en est Monza en ce moment. J’ai des réunions là-bas avec eux en septembre, nous verrons bien. J’espère que nous ne perdrons pas cette course mais il y a de bonnes chances que ce soit pourtant le cas," dit-il.
Monza semble vouloir négocier une réduction du prix du plateau.
"Nous ne leur donnerons pas plus que ce que nous donnons aux autres. Nous voulons leur donner la même chose."
Concernant Hockenheim, qui a lancé sa billetterie pour 2016, pas de doutes à avoir pour l’année prochaine. Mais il faudra revoir le contrat pour 2017 car le circuit ne dispose du Grand Prix d’Allemagne que les années paires et ce jusqu’en 2018 encore.
"Je ne sais pas ce que veut faire le Nürburgring. Les gens qui le dirigent ne sont pas des passionnés de course, contrairement à Hockenheim. Avec Hockenheim, nous avons un contrat jusqu’en 2018. Mais pour 2017, je ne sais vraiment pas ce qui va se passer. Je ne crois pas que le Nürburgring soit vraiment intéressé."