Sauber a fait le choix de rouler avec un moteur 2016 cette année, afin de se concentrer sur son châssis 2017.
Un choix qui semble toujours aussi curieux vu de l’extérieur et qui pourrait s’avérer pénalisant assez rapidement tant le moteur Ferrari 2017 a progressé selon les premières impressions récoltées à Barcelone.
"Pour l’instant c’est impossible de savoir quel impact cela aura sur notre performance globale," explique Marcus Ericsson.
"Nous savons ce que nous avons, nous devons faire avec ça cette année et maximiser le tout. Est-ce que ce sera suffisant par rapport à nos rivaux ? Je ne sais pas, je ne suis pas encore devin !"
"Bien entendu, c’est une inquiétude. Je mentirais si je disais le contraire parce que si tout le monde progresse énormément avec le moteur, cela pourrait devenir un gros problème pour nous. Mais, d’après ce que j’ai entendu, nous sommes loin d’être dans ce cas de figure."