Marcus Ericsson est entré, comme son équipier Charles Leclerc chez Sauber, dans la très convoitée séance de Q3.
Aujourd’hui au Mexique, c’était même la 2e fois de la saison seulement qu’il réussissait sa performance, après Sotchi, en Russie.
Le Suédois a toutefois utilisé comme le Monégasque les pneus hyper tendres pour y parvenir, un choix très audacieux puisqu’on sait que ces pneus vont vite s’écrouler au bout de quelques tours demain... sauf s’il pleut !
"C’est un pari que nous avons fait, évidemment s’il pleut nous n’aurons pas à payer ce choix de gommes," explique Ericsson.
"Il est toutefois bon de montrer que notre voiture ne cesse de progresser, même si nous avons chaussé les pneus les plus tendres et les autres non. Avoir les deux Sauber en Q3 c’était encore impensable au tout début de la saison."
Que peut espérer le Suédois demain en course ?
"Ca va évidemment dépendre de la météo. Nous espérons la pluie. Sans cela, nous aurons certainement à nous arrêter très tôt et ce sera dur de faire un arrêt seulement, même en repartant avec les pneus les plus durs. Tout va dépendre de la météo et du départ, ensuite nous réagirons au mieux pour sauter sur toutes les opportunités."