Ferrari a refusé de commenter les nouvelles propositions, certes peu détaillées de Liberty Media pour l’avenir de la Formule 1. Sergio Marchionne, qui n’était pas présent à la réunion, a encore lâché des menaces de retrait de la part de Ferrari. Une habitude qui semble devenue automatique chez l’Italien dès qu’il entend les mots ’Liberty’ et ’avenir’.
Un porte-parole de l’équipe italienne a confirmé qu’il n’y aurait aucun commentaire à ce sujet au sein de la Scuderia jusqu’à la prochaine réunion, qui aura lieu juste après le Grand Prix de Chine, le 17 avril, et où Marchionne devrait être présent.
De son côté, Toto Wolff a expliqué que pour Mercedes, qui est aussi fournisseur de moteurs, un budget limité à 150 millions de dollars serait impossible à tenir (lire notre article précédent), tandis que Niki Lauda a précisé : "Cela signifierait de supprimer de nombreux emplois, ce que nous ne pouvons pas faire actuellement."
Autant dire que les négociations s’annoncent longues et difficiles mais, pour une fois, elles ne devraient au moins pas être étalées sur la place publique suite à un accord trouvé hier.