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Ferrari soutient la disparition du FRIC

James Allison n’y était pas opposé

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Ferrari a soutenu la disparition du FRIC, les suspensions interconnectées, en Formule 1. Même si la Scuderia en bénéficiait, comme toutes les autres équipes, James Allison, le directeur technique, pense que la FIA avait raison d’imposer cette décision.

"La FIA a étudié le FRIC et a donné sa position, avec l’intention de le rendre illégal pour 2015. Elle a été sympa pour le timing parce qu’il faut avoir de la clarté maintenant pour le design des voitures de l’année prochaine," estime Allison.

Le Britannique savait que ce système était menacé.

"Je savais, tout le monde savait depuis un moment en fait que nous ne pourrions pas réellement penser à installer un FRIC dans la voiture 2015. Au moins nous avons été prévenus à temps, même si cela a mené à cette situation ce week-end où tout le monde l’a démonté."

"Quand une équipe a dit qu’elle ne l’utiliserait pas, cela a été le signal pour toutes les autres," ajoute Allison.

Quel impact cela a-t-il eu sur la F14 T ?

"Il y a un peu plus de sous-virage parce que tout le monde doit rouler avec une hauteur de caisse plus grande à l’avant. Il est trop tôt pour dire si cela va changer la hiérarchie. Si c’est le cas, cela ne durera pas très longtemps, le temps que toutes les équipes trouvent les bons réglages de leurs F1 sans FRIC."

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