Romain Grosjean a également tenu à répondre à Max Verstappen, qui affirmait que le pilote Lotus l’avait testé au freinage à Monaco, ce que Lotus a déjà démenti, données de télémétrie à l’appui.
"Bien entendu que je n’ai pas testé Verstappen au freinage à Monaco ! A quoi cela pourrait-il bien servir ? A Monaco il est assez facile de garder une voiture derrière vous, même si elle est plus rapide. Il suffit de rester sur la trajectoire et de se concentrer sur son pilotage," affirme le Français.
"La difficulté, elle est pour le pilote qui tente de vous dépasser. Je n’ai ni freiné plus tôt ni levé le pied de l’accélérateur plus tôt quand Verstappen m’a touché. Les données ont même montré que j’ai freiné 5 mètres plus tard. La FIA a été assez loin dans son enquête et je ne sais pas ce qui m’ennuie le plus : avoir été percuté et ne pas finir dans les points ou subir une enquête alors que ce n’était clairement pas de ma faute."
"Max s’est fait avoir lui-même en pilotant de manière trop agressive, sur le mauvais circuit. Il a fait une tentative de dépassement et nous en payons tous les deux les conséquences. Il va apprendre, c’est un pilote très talentueux."