Romain Grosjean aborde le Grand Prix de Hongrie, épreuve où il avait obtenu un podium en 2012. Le Français est un amateur de ce tracé sur lequel il a toujours été à l’aise par le passé.
"J’adore Budapest et le Hungaroring. C’est un lieu où j’aime me rendre chaque année. Il y fait souvent très beau et l’approche de la trêve vous donne souvent de l’énergie supplémentaire. C’est un Grand Prix toujours excitant."
"C’est une super piste qui m’a toujours réussi par le passé. C’était super de monter sur le podium ici en 2012. Je me souviens cependant avoir été frustré cette année-là car je pense que nous pouvions lutter pour la victoire, mais le trafic en avait décidé autrement."
"J’aime les sensations de ce tracé. J’y ai toujours été rapide en qualifications. C’est également ici que j’ai réalisé mon plus beau dépassement en F1 (sur Massa en 2013), même si je fus pénalisé pour avoir franchi les limites de la piste de quelques centimètres. Il est très difficile de dépasser ici et il est donc important d’avoir une bonne stratégie."
"Pour obtenir un beau résultat en course, il faut commencer par de solides qualifications. Nous avons montré en 2012 que nous pouvions être à l’avant et la troisième place sur la grille en 2013 fut bonne également."
"J’ai signé ma première pole position en GP2 ici-même en 2008. En 2011, j’avais terminé vainqueur et troisième des deux courses du week-end. En termes de pilotage, le circuit n’est pas le plus difficile physiquement parlant, mais la chaleur n’est pas simple à gérer. Le début du week-end peut également être délicat, car la piste est peu utilisée et il y a donc beaucoup de poussière."
"Notre E23 fonctionne bien et nous semblons être en mesure d’en tirer le meilleur lors de chaque course. Le Hungaroring n’est pas un circuit rapide, nous ne pourrons donc pas profiter de notre vitesse de pointe, mais nous sommes performants aussi dans les zones plus lentes. Nous devrions donc connaître un bon week-end et quelques points seraient les bienvenus avant la trêve."