Avec l’arrivée d’un nouvel équipier, Lewis Hamilton aurait pu demander à revoir son statut, puisqu’il est désormais le pilote le plus capé et le plus expérimenté au sein de l’équipe Mercedes. Toutefois, il tient à laisser à Bottas la liberté que lui et Rosberg avaient l’an dernier.
"Les consignes d’équipes ont lieu chez Ferrari, ça a été le cas depuis de nombreuses années, mais ça n’arrivera pas chez nous et je ne veux pas qu’il y en ait" a expliqué le triple champion du monde. "Je pense pouvoir m’en sortir sans une décision du genre".
Ferrari a toutefois arrêté ce genre de consignes depuis quelques années et malgré les difficultés de Kimi Räikkönen en ce début de saison, aucun statut de favori n’a été donné à Sebastian Vettel. Cela a été visible en Chine, lorsque l’Allemand a été obligé de trouver lui-même la faille face à son équipier, pourtant plus lent.
"C’est bien trop tôt pour des consignes du genre, mais Räikkönen aurait dû comprendre par lui-même que dans une telle situation, il devait s’écarter" a analysé Daniele Audetto, ancien manager de la Scuderia.