Lewis Hamilton a répondu à celui qu’il considérait comme son mentor en F1, son ancien patron d’équipe, Ron Dennis, qui a déclaré cette semaine qu’il ne laisserait jamais autant de libertés au triple champion du monde, qui a parfois "perdu les pédales", s’il était encore chez McLaren.
"Je n’ai pas vraiment de réponse à lui donner, je me demande simplement pourquoi il parle de moi. Je ne sais pas. Peut-être qu’il n’a pas grand chose de positif à dire en ce moment (sur son équipe)," lâche Hamilton.
"Mais au bout du compte, je suis qui je suis et cela m’a permis d’être triple champion du monde. Et je serai ainsi quel que soit mon employeur. Je ne pense pas m’être mal comporté. Ce n’est pas parce que j’ai d’autres activités en dehors de la F1 que c’est forcément négatif. Au contraire, je pense que cela a même un impact positif sur ma carrière."
"Ce n’est peut-être pas moi qui ai besoin de changer," ajoute Hamilton en direction de Ron Dennis.