Sebastian Vettel l’a déclaré après la course : "Nous n’allons pas au rythme de notre voiture mais au rythme que tolèrent les pneus." De nouvelles critiques sur Pirelli, que relaye son patron Christian Horner ce soir : quatre arrêts, c’est trop !
"Je pense que pour les fans cela devient excessif. C’est déjà assez difficile pour nous, avec toutes les informations pourtant à disposition sur les ordinateurs mais je pense que là il y a trop de confusion. Trois arrêts en moyenne c’est la limite absolue à ne pas dépasser," déclare Horner.
La situation gagne tout le paddock selon lui. "Trouvez-moi un seul pilote vraiment heureux de cette situation. On a dit que c’était seulement nous qui nous plaignions mais ce n’est plus le cas."
"Tout le monde a envie de voir maintenant les pilotes se donner à fond en piste et pouvoir se battre sans que les pneus deviennent si cruciaux dans la stratégie. On voit des pilotes laisser volontairement passer d’autres pilotes à cause de la marche à respecter. Ce n’est plus possible."