Christian Horner, le directeur de Red Bull Racing, a révélé que le moteur Renault possède encore un peu de moins de 50 chevaux de retard sur la référence de la Formule 1, le V6 turbo de Mercedes.
L’écart continue donc à se résorber pour la marque au Losange, qui était bien plus loin en 2014 et 2015, autant en matière de puissance pure que d’exploitation.
"Renault a fait de très bons pas en avant et nous savons qu’il y a d’autres bonnes choses à venir et il faudra voir comment bien faire fonctionner le tout en harmonie avec notre châssis," dit-il.
"A l’heure actuelle nous savons que nous avons 45 chevaux d’écart, c’est en tout cas ce qu’on nous dit chez Renault. Nous connaissons toutefois leurs plans pour réduire cet écart."
Rémi Taffin a indiqué en Hongrie que Renault n’introduirait plus d’évolution majeure de son moteur en 2016, en préférant se concentrer sur 2017.
Horner en a pris note mais estime qu’il y a encore beaucoup de performance à extraire du moteur qui est apparu à Monaco.
"Nous pouvons optimiser les cartographies, l’essence et la souplesse. Nous sommes assez confiants qu’avec Renault nous pouvons encore progresser en performance en optimisant ce que nous avons déjà."