Dans le paddock, les échappements bas adoptés par Red Bull en début de saison, et qui soufflent dans l’étage supérieur du double diffuseur, commencent à faire des émules. Ferrari les a adopté ainsi que Mercedes et Renault, avant que McLaren et Williams ne s’y collent pour le Grand Prix de Silverstone.
Christian Horner a toutefois prévenu qu’il ne faut pas s’attendre tout de suite à des gains aussi miraculeux que ceux annoncés, de l’ordre de cinq dixièmes au tour, pour les équipes qui en disposent. Il y a du travail pour comprendre... "C’est toujours flatteur quand les gens vous copient, mais comme toutes ces petites choses que l’on trouve sur toutes les voitures, il est très difficile de les adapter correctement si elles n’ont pas été pensées lors de la conception de la voiture."
"Ces échappements ne sont pas la raison fondamentale qui rend notre voiture si rapide. C’est une combinaison de facteurs, mais il est de toute façon inévitable que lorsque vous avez une voiture rapide, les autres tentent d’avoir les mêmes choses," explique le patron de Red Bull.
A la charge de Christian Horner, dans l’équipe Red Bull on tente bien d’adapter le F-duct, copié de chez McLaren...