Sebastian Vettel a créé un peu de polémique après l’obtention de son 3ème titre, en critiquant les coups bas portés par ses adversaires tout au long de la saison (lire notre information ici)
Même si l’Allemand n’a pas voulu préciser ses pensées, son patron, Christian Horner, n’a pas voulu suivre son pilote sur ce terrain même s’il s’attendait à ce genre de manoeuvres.
"La Formule 1 est un dur terrain de bataille. C’est aussi un business très difficile et vous êtes face à des rivaux de très haut calibre. Et nous savons tous que la façon la plus rapide de ne plus devenir populaire c’est d’avoir des succès répétés. Alors je dirai simplement que nous avons ignoré ce que les autres équipes ont dit ou fait et nous sommes restés fidèles à nous-mêmes, concentrés sur notre travail," commente le patron de Red Bull Racing.
Vettel avait certainement en tête certaines actions et commentaires de Ferrari et Alonso. Alonso n’a pas digéré la simple réprimande adressée à Vettel pour avoir été gêné en Q3 au Japon. Il a aussi déclaré se battre surtout contre le génie d’Adrian Newey. Mais Ferrari a aussi pénalisé Massa à Austin pour favoriser son pilote.
Que répond Stefano Domenicali aux critiques de Vettel ? "Je vois les choses d’un angle différent. Je ne veux pas alimenter la controverse. Pour nous, Alonso a couru seulement 18 des 20 courses et il finit à trois points. Cela fait mal. Le reste n’est pas vraiment intéressant."