Force India et Nico Hulkenberg tenteront de récupérer à Singapour la 4e place du championnat à Williams. Il faudra pour ce faire que l’Allemand se sorte des pièges des mille et un virages d’un circuit qu’il affectionne.
« Singapour est vraiment devenue l’une des attractions de la saison, aux côtés de Monaco et peut-être de Bakou. C’est un circuit urbain, une course de nuit dans une ville qui est l’un des carrefours du monde. La piste est spectaculaire et vous conduisez avec un arrière-plan impressionnant. C’est vraiment l’une des meilleures courses que vous pouvez avoir au calendrier. »
Le pilote Force India s’amuse de l’emploi du temps inhabituel des pilotes, qui se calquent sur le fuseau horaire anglais malgré le décalage : « La seule difficulté est de trouver un restaurant qui sert toujours à manger après minuit, quand vous avez fini le travail au circuit ! »
La piste en elle-même est un sacré défi pour tout pilote de F1. « C’est un très long tour avec beaucoup de virages qui ajoutent une difficulté supplémentaire pour équilibrer la voiture avec les ingénieurs. C’est sans fin ! Du point de vue du pilotage, il est vraiment difficile de mettre tous les secteurs ensemble pour faire le tour parfait. Il fait aussi très chaud et humide. Vous êtes dans la voiture pendant presque deux heures dans des conditions suffocantes… c’est vraiment un test pour vous. »
« Il y a quelques virages sympas, comme le 6e qui permet d’approcher le 7e. Le premier secteur est ma partie préférée du circuit, il y a des bosses et des gros vibreurs, donc vous avez besoin d’une voiture qui peut bien les négocier, et d’une bonne traction pour sortir des virages lents et à moyenne vitesse. »