Nico Hulkenberg, après la déception de Melbourne, vous avez enfin pu rouler davantage en course à Sepang et marquer vos premiers points pour Force India ?
Oui, je suis ravi de la course que nous avons eu en Malaisie, qui était de manière basique ma première vraie course depuis la fin de la saison 2010 (avec Williams). Ce n’était pas une course facile et je n’ai jamais pu rouler ailleurs que dans le sillage dans une autre voiture mais c’était bien de décrocher des points, mes premiers pour l’équipe.
Avez-vous beaucoup appris sur la voiture dans des conditions aussi changeantes ?
Vous apprenez toujours quelque chose sur une distance de course, c’est toujours des connaissances utiles sur la voiture ou sur la manière de piloter, sous la pluie dans ce cas précis. Pour moi la partie la plus difficile, c’était juste après le nouveau départ où j’ai eu du mal à trouver l’équilibre entre les pneus pluie et les pneus intermédiaires. Quand je suis passé en slicks, la performance était de nouveau plutôt bonne.
Est-ce l’équipe a une meilleure connaissance de la hiérarchie maintenant ?
Nous n’en sommes qu’au début de la saison, il n’y a eu que deux week-ends de course, alors je pense qu’il faut encore attendre. Le milieu de grille est si compact que personne ne peut se reposer sur ses lauriers une seule minute. Nous avons tous besoin de pousser très fort pour améliorer nos performances et avec encore 18 courses à faire, il y a encore bien du temps pour y parvenir.
Quelles sont vos impressions avant ce week-end en Chine ?
Ce n’est pas ma course favorite de l’année mais les Chinois ont fait du très bon boulot avec ce circuit, les infrastructures sont impressionnantes et c’est vraiment un tracé très fun pour piloter. C’est difficile de prédire à quel point nous serons bons là-bas mais étant donné à quel point la grille est serrée en ce moment, nul doute que ce sera du bon spectacle pour les fans.