Nico Hulkenberg sait déjà qu’il partira avec un handicap lors de ce Grand Prix de Russie : demain il ne participera pas aux essais libres 1, puisque son baquet sera occupé par Sergey Sirotkin pendant 90 minutes.
"Je ne vois pas cela comme un énorme inconvénient, pas vraiment. C’est moins de temps sur la piste. Mais je sais déjà comment cela marche ici. Cela ne change donc pas beaucoup. J’étudierai les données de Sergey pendant la séance," confie l’Allemand à Sotchi.
"Cela a toujours été clair que Sergey allait avoir du temps de piste. Je savais que cela allait arriver – que je doive donner ma voiture 3 ou 4 fois par an. Et ce n’est pas un problème."
Hulkenberg a déjà connu cette situation chez Force India. L’ambiance reste donc au beau fixe chez Renault F1.
"Je suis arrivé chez Renault cet hiver mais je suis déjà très bien intégré à l’équipe. J’ai été moi-même surpris, après les tests hivernaux, de ne pas avoir l’impression d’être dans une nouvelle équipe."
L’Allemand attend maintenant des progrès sur sa voiture. Et aux essais privés de Bahreïn, cela semblait déjà prometteur avec un nouvel aileron avant plus constant.
"Ce n’est pas le meilleur indice pour l’avenir, parce que nous avons aussi eu des problèmes de fiabilité. Mais, maintenant, nous sommes plus ou moins au niveau où je m’attendais. Je pense ce que nous avons trouvé est de manière générale bon. Les évolutions vont faire faire un pas en avant à la voiture. Tout est relatif : les autres équipes ont aussi quelques nouvelles pièces."
"Avant la course de dimanche, nous ne savons pas où nous allons nous retrouver ce week-end. En ce moment, nous ne sommes pas encore en mesure de décrocher des points à chaque course. Mais, bien évidemment, je crois que des points sont possibles dimanche."