Malgré les voix qui se sont élevées ces derniers jours du côté de Red Bull, Honda et même Mercedes, aucun accord n’a pu être trouvé lors de la dernière réunion de la Commission F1 cette semaine sur une augmentation du nombre de moteurs autorisés pour une saison.
A partir de cette année, les pilotes n’auront plus que 3 moteurs pour réaliser toute une saison, sans pénalité. Soit un de moins qu’en 2017. Autant dire que les pénalités pour changement de moteur risquent de pleuvoir encore davantage.
Ce quota trop faible pour 2018, dénoncé par Christian Horner du côté de Red Bull ou encore d’Andy Cowell chez Mercedes, ne sera pas non plus rectifié pour 2019 ou 2020.
Les règles resteront telles que décidées à l’époque, entre les équipes et la FIA : cela permet de faire baisser la facture des petites équipes, un moteur qui casse étant pris en charge par le constructeur concerné.