Après son Grand Prix à domicile il y a deux semaines, Sergio Pérez s’apprête comme tout le paddock à poser ses valises au Brésil, avant-dernière manche de la saison 2016 de Formule 1.
« Le Brésil est un pays très accueillant, déclare le pilote Force India, et il a beaucoup en commun avec le Mexique. Les gens, la culture, la nourriture, São Paulo a beaucoup à offrir. »
« Le circuit est très dur à maîtriser et propose quelques virages délicats. C’est un de ces rares circuits antihoraires et ça le rend difficile d’un point de vue physique, tout particulièrement au niveau du cou. Il y a toujours un élément extérieur qui joue un grand rôle, que ce soit la météo ou autre chose, et les courses à Interlagos ont tendance à être particulières. »
« La piste est très courte, on se croirait presque sur un circuit de karting ! Du coup, on peut facilement perdre bon nombre de places en cas d’erreur. Il faut une voiture qui soit stable à l’arrière et sans sous-virage afin de pouvoir exploiter au maximum les changements de direction. »
« Impossible de courir au Brésil sans penser à Senna. C’est une légende pour la plupart d’entre nous et on ressent sa présence partout sur le circuit. »