Après avoir effectué son retour dans les points à Singapour, Nico Hülkenberg se tourne maintenant vers la Russie et l’autodrome de Sotchi, théâtre de la seizième manche de la saison.
Appréciez-vous le Grand Prix de Russie ?
J’aime voyager en Russie. C’est un pays intéressant où il se passe plein de choses et où l’on ne s’ennuie pas. Sotchi reste un circuit relativement nouveau au calendrier, mais il est plaisant d’y piloter et l’ambiance y est toujours très bonne.
Que dire sur le tracé de Sotchi ?
C’est l’un des plus longs de l’année avec beaucoup de virages. Cela augmente le défi, car il faut réussir chaque enchaînement et chaque secteur, notamment en qualifications. C’est une piste très rapide et fluide, ce qui explique pourquoi je l’apprécie. Il y a d’abord une longue ligne droite avant un gros freinage au premier virage et une interminable courbe à gauche. Dès lors, c’est très rythmé avant une dernière portion légèrement plus lente avec ses virages à 90°. Dans cette dernière, on doit surtout veiller à ne pas faire surchauffer les pneumatiques à l’arrière. C’est un circuit amusant dans l’ensemble.
Quel est votre historique en Russie ?
J’ai achevé ma mauvaise série à Sotchi en terminant huitième l’an passé. C’était ma deuxième entrée dans les points sous les couleurs de Renault. Avant cela, je n’avais jamais eu beaucoup de chance en Russie avec plusieurs abandons à mon actif… Nous avons toutefois mis cela derrière nous et nous chasserons un autre résultat solide cette saison.
Dans quel état d’esprit êtes-vous après Singapour ?
C’est bon de retrouver le top dix après un petit passage à vide. Dans notre combat pour la quatrième place du Championnat Constructeurs, il est important de marquer des points avec les deux voitures. Nous devons nous appuyer sur les aspects positifs. Bien sûr, nous en voulons toujours plus et je ne peux pas m’empêcher de penser que nous aurions pu faire mieux à Singapour. Nous viserons plus haut en Russie.