Robert Kubica fait face au plus grand défi sportif de sa vie, celui de revenir en Formule 1 après huit ans d’absence, dont plusieurs années occupées par la convalescence d’un énorme accident de rallye subi en février 2011. Le Polonais se veut optimiste et s’estime à la hauteur du challenge, à condition que la voiture soit bonne.
"C’est une tâche difficile et ambitieuse, mais je suis connu pour ne pas faire des choses simples et légères" a-t-il déclaré. "Que ça fonctionne ou à savoir si j’en serai proche, cela dépendra de comment je me sens dans la voiture et comment elle est performante. Cela peut grandement simplifier ou compliquer le problème."
En 2018, Williams et ses pilotes ont fait face à une monoplace non seulement lente mais aussi difficile à maîtriser et imprévisible : "C’est comme danser avec un partenaire qui ne peut pas danser."
"Si la voiture n’est pas performante comme l’attend le pilote, ce n’est même plus une question de vitesse ou de temps au tour, mais simplement le feeling qu’elle donne qui peut poser problème pour le pilote."