Que demanderait Hamilton à Senna ?
Si Lewis Hamilton avait la possibilité de converser avec Senna, que lui demanderait-il ? C’est une des questions qui a été posée au pilote McLaren lors du Fota forum.
"Comment démarrer une conversation avec quelqu’un comme lui ? Quand vous rencontrez quelqu’un que vous admirez énormément, vous êtes toujours nerveux et quand la discussion est finie, vous vous dites toujours "Mais à quoi je pensais ! J’aurais dû lui demander ça ou ça..."
"Je ne pense pas que je lui demanderai quelque chose à propos de la F1. Je lui demanderai plutôt ce qu’il aime écouter comme musique, ce qui faisait sa vie hors de la F1. Ah si, je lui demanderai quand même comment il se qualifie une seconde devant tout le monde à Monaco," déclare le Britannique.
Kobayashi pense à Suzuka et ses compatriotes
Kamui Kobayashi s’est fortement impliqué dans son pays et à l’étranger pour récolter des fonds pour les victimes du séisme et du tsunami qui s’en est suivi. Il veut faire un geste pour les passionnés de F1 qui ne pourront aller à Suzuka par manque d’argent.
"La situation est bien meilleure maintenant mais il faudra 10 ans pour que tout revienne à la normale. Tant de gens ont perdu leur maison et leur travail. On a organisé beaucoup d’évènements pour récolter de l’argent et, si on peut, on aimerait inviter gratuitement ceux qui ont été victimes à Suzuka. Ce n’est pas facile car les tickets sont très chers mais je veux inviter des gens."
Lowe ne comprend pas le double DRS
Paddy Lowe, directeur de l’ingénierie de McLaren, n’est pas un fervent supporter du double DRS dans sa forme actuelle, avec un seul point de détection de l’écart entre deux voitures.
Cette solution a été testée par la FIA au Canada et à Valence. "Je dois dire que je ne comprends toujours pas la raison d’avoir une 2ème zone pour le DRS et je pense que la FIA est en train de se faire la même réflexion. Peut-être qu’il y a des circuits où cela a du sens mais au Canada, les dépassements se faisaient dans la première zone, la plus longue. La deuxième ne servait qu’à créer un écart après le dépassement."
James Allison, directeur technique de Renault, relativise. "La FIA s’est plutôt bien débrouillée quand même pour une première année avec tous les circuits. Ils ont également été assez bons pour définir les bonnes distances d’activation de l’aileron arrière ajustable."