Fernando Alonso espérait de la pluie, car elle aurait pu compenser le manque de compétitivité de sa McLaren, mais aujourd’hui, cette pluie n’a pas joué en sa faveur.
"Il tombait deux gouttes toutes les 10 minutes et nous devions à chaque fois rentrer pour changer de pneus," raconte Fernando Alonso à Hockenheim.
"Ces arrêts nous ont relégués dans le fond du classement. A partir de là, il n’y avait plus rien à faire, mais nous devions prendre ce risque. Nous étions de toute façon hors des points, nous n’avions donc pas grand-chose à perdre."
Sans pluie, la course de Fernando Alonso aurait été très différente.
"Sur le sec, nous aurions marqué des points. Nous avions prévu de faire un seul arrêt. Nous avons retardé cet arrêt de 12 tours par rapport à nos rivaux et je pense que nous en aurions devancé quelques-uns. Sur le sec, nous aurions pu terminer à la neuvième ou dixième place."