Niki Lauda ne souhaite pas que la Formule 1 entre sur le terrain politique et menace de ne pas se rendre en Russie en octobre. Le boycott, suggéré dans le paddock de Melbourne qui se met en place, n’est pas une bonne solution.
Les tensions entre la Russie, l’Europe et les USA au sujet de l’Ukraine et de la Crimée en particulier font la une des médias internationaux depuis plusieurs jours, avec de nombreuses critiques à l’égard du comportement de Vladimir Poutine.
Lorsque l’on demande à Lauda si, parmi les sanctions à imposer à la Russie, l’idée d’un boycott du Grand Prix était envisageable, le président de Mercedes F1 répond : "Cela ne servirait complètement à rien."
"Toutes les personnes responsables ont décidé que nous irions courir là-bas. Nous avons donc une obligation, de même que Bernie Ecclestone et la FIA."