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Le 24 juin, une excellente date pour le GP de France

Selon Christian Estrosi

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La FIA l’a confirmé cette après-midi lors de la publication du calendrier provisoire de la F1, le Grand Prix de France fera son retour sur le circuit Paul Ricard dès juin 2018.

Christian Estrosi, président délégué de la région PACA et président du Groupement d’Intérêt Public qui organise le Grand Prix de France, s’est confié au micro de Laurent Dupin sur INFOSPORT+.

Nous connaissons la date du prochain Grand Prix de France...

Je peux vous confirmer aujourd’hui que le Grand Prix de France 2018, pour son retour en France, se tiendra le dimanche 24 juin. Nous savions que la date devait se jouer plutôt en début de période estivale. Et je dois dire que c’est une excellente nouvelle de pouvoir obtenir aujourd’hui la validation de cette date du 24 juin à la fois par la Fédération Internationale Automobile et par la FOM. Car c’est la FOM qui propose et la FIA qui valide.

Quelles sont les grandes étapes à réaliser d’ici le 24 juin 2018 ?

Nous en avons déjà franchi de nombreuses avec notre directeur général Gilles Dufeigneux, avec nos équipes qui aujourd’hui sont totalement opérationnelles et travaillent tous les jours d’arrache-pied en relation avec la FOM, en relation avec la direction du circuit Paul Ricard et notamment de Stéphane Clair. Nous avons une visite de la FIA sur le circuit qui est venue constater que nous disposions là d’un des circuits européens les plus sûrs, les plus performants, les plus compétitifs avec sa dimension sportive. Avec quelques petits aménagements qui seront faits pour rendre plus attractive la compétition avec des espaces de dépassement et en même temps nous travaillons bien évidemment à toutes les conditions d’accueil, à l’organisation que nous voulons proposer pour que nos partenaires institutionnels, les collectivités qui sont parties prenantes autour de la collectivité régionale mais aussi à nos futurs annonceurs de pouvoir accueillir leurs invités et surtout de pouvoir faire de cet évènement un évènement extrêmement populaire avec ce qui ira autour à la fois sur le plan sportif, social, de l’éducation et culturel.

C’est une émotion immense…

Je crois que des dizaines de millions de passionnés de l’automobile dans le monde ne pouvaient pas comprendre que la France, pays fondateur de l’industrie automobile ne soit plus organisateur de l’une des épreuves de championnat du monde, les plus passionnantes, les plus regardées, les plus appréciées. C’est une fierté. Je pense à cet instant où le départ sera donné, où résonnera La Marseillaise, pour que de nouveau, dix ans après que Magny-Cours ait perdu le grand Prix de France, ce soit sur cette terre au bord de la méditerranée, au circuit Paul Ricard où la dernière grande course était disputée en 1990, remportée par Alain Prost. Oui ce sera beaucoup d’émotions.

Vous êtes très impliqué dans l’organisation de ce Grand Prix…

Je sais la responsabilité qui pèse sur mes épaules. Je sais que nous n’avons pas le droit de décevoir. Nous avons signé un contrat de 5 ans. Dès l’année prochaine il faut que ce soit une réussite absolue. Et puis, graduellement, nous monterons pour être toujours un peu plus une des grandes épreuves du championnat.

Vous avez un passé en sports mécaniques. Quel est votre souvenir en tant que spectateur d’un Grand Prix de France ?

Naturellement, c’était en 1990 et la victoire d’Alain Prost qui m’aura profondément marqué.

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