Sur le Circuit Paul Ricard, Nico Hülkenberg s’est montré déterminé pour arracher deux points lui permettant de se hisser à la septième place du championnat. L’Allemand veut désormais aller encore plus loin dès l’Autriche, l’étape centrale de ce marathon de trois courses en trois semaines.
Qu’appréciez-vous au Grand Prix d’Autriche ?
On est toujours bien accueilli en Autriche. Le cadre est vraiment détendu et habituellement de nombreux fans allemands franchissent la frontière. Maintenant que l’Allemagne est de retour au calendrier, ce n’est pas vraiment une course à domicile, mais j’en avais vraiment eu l’impression l’an passé !
Spielberg propose un décor unique. C’est vraiment calme entre les collines, au milieu de nulle part avec toutes ces vaches et ces champs ! C’est très joli et cela change vraiment de ce que l’on voit habituellement.
Quels sont les défis de ce circuit ?
C’est assez court avec neuf virages seulement, mais c’est loin d’être facile ! C’est très difficile et technique. On y retrouve des dénivelés, de gros vibreurs auxquels il faut faire attention et un mélange de courbes lentes et rapides. Ce n’est pas aussi simple qu’il en a l’air !
L’an dernier, nous avons connu de petits soucis concernant le sous-virage et le refroidissement des pneus arrière, nous devrons donc faire le point là-dessus dès nos premiers tours de roue vendredi. Enfin, comme nous sommes sur l’accélérateur la plupart du temps, la performance du moteur sera un autre point-clé.
Quelles sont vos recommandations autour de la cuisine autrichienne ?
Je suis un grand amateur de schnitzels. C’est un plat local typique, donc je vous conseille d’en engloutir quelques-uns durant le week-end. Le Kaiserschmarrn est également délicieux, c’est un dessert traditionnel autrichien.