Liberty Media souhaite étendre le calendrier de la Formule 1 et trouver de nouvelles destinations. Les Pays-Bas se sont montrés intéressés et pour profiter de la présence de Max Verstappen en F1, Zandvoort voulait accueillir de nouveau la discipline.
Le patron du circuit, Bernhard van Oranje, a toutefois reconnu qu’un Grand Prix des Pays-Bas était désormais peu probable dans les prochaines années. Hormis Zandvoort, Assen est également intéressé.
"Nous parlons avec Liberty Media, mais les chances que ça se produise sont minimes" explique-t-il. "De nombreux pays veulent payer n’importe quel prix pour la Formule 1. Les taxes d’entrée vers Liberty Media sont environ de 20 millions de dollars, ce qu’aucun circuit ne gagne avec les ventes de billets".
"Il faut donc aussi de l’argent d’investisseurs et c’est ce que nous cherchons actuellement. Liberty disent qu’ils veulent des courses classiques européennes, mais cela ne fait aucun sens d’avoir en parallèle aussi peu de courses en Europe. Les nouveaux marchés comme le Mexique les intéressent plus. En tant que promoteur, c’est compliqué, mais tant qu’il y a une chance, nous continuons".
Bernhard van Oranje ne pense pas que l’inspection récente faite du circuit d’Assen ne soit un indice d’une course disputée là-bas : "[Charlie] Whiting est aussi venu nous voir, ça ne veut rien dire".