Charles Leclerc a réalisé la meilleure course de sa jeune carrière en F1 à Bakou, où il a terminé le Grand Prix d’Azerbaïdjan à la sixième place. Il admet que sa plus grande expérience, couplée à sa meilleure connaissance de la voiture, sont toutes les deux à l’origine de ces progrès.
"Les deux en sont responsables" affirme le Monégasque. "Je pense que j’ai beaucoup progressé sur l’approche à Bakou ? Nous avons décidé d’augmenter le sous-virage pour moi, ce qui était déjà le cas pour Marcus avant. Et avant, ma voiture était bien trop imprévisible et il était difficile de bien réussir."
"Nous avons visé un équilibre avec plus de sous-virage et ça a été le jour et la nuit pour moi. Je pense que ça a grandement aidé. Je pense que la voiture était très à l’aise sur le circuit. J’aime aussi ce circuit. Donc c’est un tout, mais je pense que la plus grande différent est la manière dont la voiture se comporte, et une meilleure confiance a aussi amené plus de performance."
Leclerc a réalisé l’un de ses rêves en se mesurant à l’un des premiers pilotes qu’il a supportés, Fernando Alonso : "Fernando était un pilote que je suivais quand j’avais 5 ans, à Monaco, et c’est assez fou de se battre avec lui" reconnaît Leclerc. "Pouvoir me battre avec lui... oui nous avions l’avantage des pneus, mais même en fin de course, nous semblions forts face à McLaren. C’était le cas durant la course entière et c’est très intéressant pour l’avenir."