Le moteur datant de 2016 qui équipe les Sauber a fait souffrir l’équipe suisse en Belgique et en Italie lors des deux derniers Grands Prix. Malheureusement, avec un châssis peu développé, les rues sinueuses de Singapour risquent de ne pas représenter une meilleure chance de briller pour les pilotes qui font contre mauvaise fortune bon cœur.
"J’ai hâte de rouler à Singapour" relativise MarcusEricsson.
"C’est un plaisir de piloter dans une ville si jolie et les courses nocturnes sont toujours amusantes. En termes de pilotage, je dirais que c’est l’un des meilleurs circuits de l’année. C’est un circuit urbain et il a le plus grand nombre de virages de la saison. Les hautes températures et l’humidité ajoutent de la difficulté pour les pilotes et les membres de l’équipe. Pour les fans, il y a beaucoup d’événements tout autour de la ville et ce sera un très bon week-end".
Pascal Wehrlein ne s’exprime pas beaucoup plus sur l’aspect sportif d’un Grand Prix duquel il n’attend rien d’autre que le plaisir de son environnement.
"J’ai hâte de retrouver Singapour qui est ma course préférée. J’aime les courses de nuit mais Singapour amène l’expérience à un autre niveau, notamment en termes d’ambiance. La ville brille de mille feux et j’aime le défi que représente un circuit urbain. La routine de nos week-ends est différente ici et la plupart de nos activités en piste et hors piste se déroulent de nuit, c’est un changement. Globalement, c’est un événement très intéressant et j’ai hâte de prendre le volant".