Après Eric Boullier, c’est le grand patron de Lotus et de Genii Capital en personne, Gérard Lopez, qui a tenu à mettre un terme aux rumeurs de mauvaise santé financière de Lotus, avec des chiffres alarmants sur la dette.
Les journaux allemands ont révélé une dette de 120 millions d’euros. Lopez ne la nie pas mais tient à l’expliquer.
"Sur la dette de 120 millions d’euros, quelqu’un d’un peu intelligent pourrait alors au registre du commerce et des sociétés et voit que plus de 90 millions d’euros ne sont pas une dette réelle mais des prêts faits par les actionnaires à l’équipe," explique le Luxembourgeois à Autosport.
Comme son directeur d’équipe, Eric Boullier, Lopez affirme que "les salaires des employés ont toujours été payés à temps et qu’il n’y a jamais eu le moindre indice sur une éventuelle grève à venir à l’usine."
"Nous ne commentons pas ce genre de choses d’habitude mais dans ce cas c’est injuste pour les gens qui travaillent chez nous de laisser dire cela," conclut-il.