James Allison, quelles sont vos réflexions aujourd’hui ?
Nous avons vécu des qualifications décevantes. Un peu comme à Melbourne, nous n’avons pas placé nos voitures là où leur performance sur le sec le mérite. Comme la dernière fois, la pluie a perturbé les qualifications et nous ne sommes pas aussi efficaces sous la pluie que par temps sec. C’étaient les qualifications, mais la course, c’est demain et nous avons le potentiel pour que nos deux pilotes réalisent de belles performances.
Quelle est la tendance de la météo pour demain ?
Malheureusement, cela pourrait bien ressembler à celle d’aujourd’hui, avec encore plus d’humidité. Ce temps variable arrive souvent en Malaisie et ce sera probablement un vrai test pour les pilotes et pour l’équipe, dans le sens où il est très difficile de définir la bonne stratégie au fil du déroulement de la course. Nous n’avons pas brillé sur le mouillé, mais la quantité d’essence dans la voiture demain facilitera la montée en température des pneus intermédiaires.
Et si le temps reste sec ?
Nous avons une bonne cadence, en particulier avec beaucoup d’essence. Alors si quelqu’un peut effectuer une danse contre la pluie efficace, nous serons bien placés pour obtenir un beau résultat. Le scénario habituel en Malaisie offre une piste sèche au début, puis une pluie violente, suivie d’une entrée de la safety car et c’est dans ce type de conditions que les décisions audacieuses sont payantes. Le problème est de prendre la décision audacieuse adéquate.