Lotus sera de retour devant la justice vendredi, devant la Haute Cour de Londres, alors que l’équipe entamera les premiers essais libres à Singapour.
Le fisc britannique, le HMRC, ne lâche pas l’écurie et demande toujours la mise sous la tutelle d’un administrateur judiciaire de Lotus.
Il y a un peu plus d’une semaine, Lotus avait obtenu, grâce à l’aide de représentants de Renault qui étaient présents, le report de la séance mais, depuis, il n’y a toujours eu aucune nouvelle du constructeur français concernant un rachat.
Federico Gastaldi a indiqué ce week-end qu’il espérait de très bonnes nouvelles très rapidement.
Ces nouvelles arriveront-elles avant vendredi ? Le juge Birss pourrait perdre patience et céder aux demandes du fisc... à moins que Lotus ne réussisse à régler quelques dettes d’ici là, grâce à de l’argent débloqué par Genii Capital.
Matthew Carter, le directeur exécutif, se veut rassurant.
"Personne ne souhaite voir l’équipe en liquidation. Nous devons juste nous assurer que tout le monde est payé."